Nom : Garonnia
Prénom : Cécile
Age : 21 ans
Sexe : féminin
Famille : Elle est fille unique. Sa mère et son père se sont divorcés lorsqu'elle atteignait l'âge de 11 ans. Elle poursuivit son enfance avec son père, voyant sa mère un week-end par mois. Son père est devenu alcoolique car il ne supportait pas ce nouveau tempérament de vie. Elle n'avait qu'un chien qu'elle aimait plus que tout.
Taille : 1m69
Poids : 49 kg
Couleur des cheveux : Elle a de longs cheveux bruns.
Couleur des yeux : marron
Couleur de peau : blanche, mais bronze facilement.
Vêtement portés régulierement : Elle porte souvent des jeans et des tee-shirt.
Particularités : Une cicatrice à l'épaule gauche.
Qualités : Elle est directe, si elle a quelque chose à dire, elle le dira. Elle peut être très gentille si la personne qu'elle a en face lui inspire la confiance. Elle est souvent prête pour aider.
Défaults : Elle est impatiente, et stresse très vite lorsque la situation l'exige. Elle reste souvent sur ses gardes et se méfie de tout. Aussi, elle est parfois très siençieuse et se replie sur elle-même.
Amis : N'ont pas pris l'avion.
Ennemis : N'ont pas pris l'avion.
Sociable : ça dépend.
But : Elle a pris l'avion dans le but de rendre visite à son ex-fiancé... visite peu positive pour lui.
Passe-temps : Courir, rire, s'amuser...
Nationalité : Anglaise
Passé : Au divorce des ses parents, Cécile a été d'abord troublé. Ses notes à l'école, jusqu'à présent excellentes, chuttèrent de beaucoup pour toucher la limite de la catastrophe. Sa mère et son père n'y prettèrent pas attention car, d'une part, la mère préférait retrouver son amant que de se préoccuper de son enfant. Quant au père, il noya tout simplement son chagrin dans l'alcool. Cécile ne trouva réconfort que dans les poils et les jeux avec son chien, un jeune labrador d'environ 5 années.
Elle sut remonter la pente grâce à cette présence non humaine, mais qui la valait bien plus. Les rapports entre elle et ses parents devinrent très mauvais ; les rares fois où elle leur adressa la parole, cela se transforma en une avalanch d'insultes.
Quelques années plus tard, le chien mourrut. Il se faisait vieux. Alors Cécile pleurait lorsqu'elle le découvra couché dans son panier, où la mort avait dù le capturer pendant son sommeil. Son père entra dans la pièce ce jour-là, à moitié saoul. Il regarda alternalement le chien et la fillette avant d'éclater d'un rire gauguenard et de dire :
" ah ben te v'là ! Va foutre c'maudit batard à la poubelle, et qu'il y pourr'sse ! "
Elle le regarda avec dégoût, répondant comme elle en avait pris l'habitude :
" ferme ta gueule ! Si t'es pas capable d'avoir des sentiments pour autre chose que ton alcool, tu peux te dire que la décharge t'accueillera bientôt ! "
Elle en avait trop dit... Il avait saisi son arme dans sa poche et le pointait sur elle d'un air fier. Elle plongea sur lui et le tabassa à coup de pied, car les forces de l'homme étaient anéanties par les dégâts de l'alcool. L'arme se retourna contre lui, et une balle en sortit.
Cécile fut placée d'abord dans un foyer, puis ils l'envoyèrent dans un asile. Elle n'était pas folle, probablement la plus lucide de tous les pensionnaires. Elle ne prenait pas les cachets, rien. Ils finirent pas la laisser fuire, et celle-ci se dépécha d'acheter le premier billet de train pour l'Amérique... mais un autre sort l'attendait.
Nom de la personne sur votre avatar : Sophie Marceau.